Appui à la coopération : pourquoi, avec qui et comment ?

Choisir et mettre en œuvre le mode de coopération adapté à vos besoins
Crédit : macrovector / Freepik

La diversité des situations et l’immensité du champ des possibles (Guide des coopérations territoriales –ANAP 2011) offrent aux gestionnaires des établissements et services sociaux et médicosociaux des opportunités intéressantes de coopération.

De façon défensive ou de manière plus offensive et dynamique, les intéressés doivent pouvoir décider du bon mode de coopération et le mettre en œuvre en toute sécurité juridique.

Dans un contexte médicosocial complexe et incertain pour bien des raisons (aléas des réformes, vieillissement des administrateurs bénévoles, tension sur les finances locales…), l’inscription d’un établissement ou service ou d’un groupe d’établissements et de services dans un mouvement de coopération est devenue incontournable pour pouvoir maintenir une stabilité de gestion ou/et la qualité des prestations et la maîtrise de leurs coûts de production. Gerontim vous aide à choisir et à mettre en œuvre le mode de coopération adapté à vos besoins.

1. Clarifier vos motivations

Coopérer pour coopérer n’aurait aucun sens ! Gerontim vous aide à identifier les différentes raisons qui, dans votre contexte et selon votre perspective d’avenir, justifient de votre entrée dans une opération de coopération. Il pourra s’agir de façon indépendante ou combinée de motivations d’ordre économique, social, sanitaire ou encore liées à la gouvernance.
Dans tous les cas, il conviendra d’estimer la durabilité de ces motifs dans le temps et leur identification dans le projet d’établissement ou de service.

2. Etudier les voies possibles

Comparer les solutions pour choisir celle adaptée à vos besoins ! Gerontim rapproche vos besoins et intentions des cadres juridiques pertinents et des politiques développées par les Agences Régionales de Santé (ARS) et Conseils Départementaux. Pour chacun, Gerontim affecte un indice d’opportunité et de faisabilité compte tenu d’indicateurs objectifs (temps de l’opération, facilitations et freins, impacts techniques et économiques de court, moyen et long termes…).
Ces cadres juridiques, des plus simples (exemples : ensemblier, collectif…) aux plus complexes (exemples : fusion, cession d’EHPAD…) peuvent aussi se succéder dans une démarche de coopération graduée (exemple : partir d’un groupement de coopération pour ensuite procéder à un transfert partiel d’actif ou un mandat de gestion).

3. Epauler la mise en œuvre du mode de coopération retenu

La rigueur est de mise ! Gerontim mobilise ses compétences pour réunir avec vous tous les éléments formels constitutifs de l’opération de coopération que vous aurez choisie avec vos partenaires.
De sorte à garantir le succès de l’opération et assurer la sérénité des protagonistes en termes de responsabilité. Notamment, Gerontim veille à ce que l’opération soit juridiquement sécurisée et qu’elle soit évaluable par les parties tout au long du processus de création et de développement.
Le cas échant, le mode opératoire peut être défini dans le cadre d’un ou plusieurs CPOM et résulter de la volonté conjointe des gestionnaires et des tarificateurs.

4. Choisir les bons partenaires

Le cas échéant, sélectionnez les bons partenaires ! Tout spécialement en cas de projet de cession d’établissement ou service médico-social, Gerontim vous accompagne, si vous le souhaitez, dans la recherche du bon repreneur.
Celui qui poursuivra votre action dans le respect des valeurs et autres principes d’action auxquels vous êtes attachés. C’est aussi Gerontim qui pourra organiser la sélection et l’audition des candidats jusqu’à ce que vous reteniez le bon sur la base de tous les éléments d’appréciation qui auront été réunis.

Vous voulez aller plus loin en matière de coopération ?

Contactez-nous afin de nous expliquer vos attentes et définir ensemble une prestation sur-mesure !
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